
La Révélation d’Arès est le message qu’un français, Michel Potay reçut physiquement de Jésus en 1974 et du Créateur en 1977, à Arès (Bassin d'Arcachon, Gironde, France).
Ce Message ne se résume pas. C'est un nouvel Appel du Père de l'Univers à changer le monde en commençant par se changer soi-même, retrouver la Vie qui est simplement aimer, pardonner, faire la paix, se libérer de toutes peurs et préjugés et retrouver l'intelligence du cœur.




Les faits surnaturels
ko sa larivé ter la ?
En 1974 et en 1977, le Ciel donne à nouveau Sa Parole à l’homme du XXème siècle et du temps qui vient.
1974. Du 15 janvier au 13 avril à Arès (Gironde, France), Michel Potay est témoin de 40 visites nocturnes de JÉSUS transfiguré , le charpentier de Nazareth, prophète crucifié – et ressuscité – il y a 2000 ans.
1977. Du 02 octobre au 22 novembre toujours à Arès, Michel Potay est témoin de cinq théophanies, manifestation directe du CRÉATEUR dans une extraordinaire conflagration physique, lumineuse et sonore... qui n'est pas sans rappeler le fameux buisson du Mont Sinaï.



Le message
ko sa bon dié la di a nou ?
Pour changer une société dominée par le mal (arbitraire des pouvoirs, individualisme, médisance, jugement, mensonge, etc.), il faut y introduire en suffisance la force du Bien (amour, pardon, paix, humilité, absence de préjugés, etc.) que seul l’individu peut incarner. La bienveillance institutionnalisée telle que la charité publique (aide sociale) ou internationale (humanitaire), un certain savoir-vivre moralisé (civilité à l’égard de l’entourage, etc.), gère le mal, en adoucit les effets mais ne s’attaque pas à ses causes profondes. Il faut, avec courage et espérance, changer nos vies, et pousser l’expérience du Bien beaucoup plus loin. La Vérité, c'est que le monde doit changer (28/7) or il ne changera pas si l’homme ne se change pas lui-même (30/11).




Le Livre
Bon dié la done a nou un liv
La Parole donnée à Arès, du nom de la localité en Gironde, France, où elle parvint au monde en 1974 et 1977, redonne à toute l'Écriture qui la précéda le sens que celle-ci aurait gardé, si n'étaient pas tombés sur elle les voiles théologiques et dogmatiques.
Le bonheur et le salut de l'individu comme du monde ne dépendent pas de la providence ou du jugement de Dieu pour les croyants, ni d'une bonne politique ou de bonnes lois pour les incroyants. Il faut aimer, pardonner, faire la paix, être libre de tous préjugés et pouvoirs et retrouver l'intelligence du coeur, qu'on soit croyants ou incroyants.
Cette révélation, Dieu la nomme le Livre. Abandonner ce Livre à la bibliothèque des idées religieuses dépassées et des utopies, ou se plaire à le lire puis le ranger sans y revenir, c'est en ignorer l'importance vitale. L'Histoire qui se défait appelle une autre Histoire, à faire. Si à l'Histoire du mal ne succède pas l'Histoire du Bien, les plus tragiques épreuves attendent l'humanité, elles ont d’ailleurs déjà commencé (climat, terrorisme…). Cette métamorphose ou transfiguration de l'humanité est à la portée de l'homme. C'est tout le sujet de ce Livre.
